Nous devons faire de THE DOOR MAN un « Réseau PREMIUM »

Je l’avoue…
Je l’avoue, au départ je n’étais pas très à l’aise avec le « mass market » à la mode IAD ou CAPI lorsque j’ai débuté l’aventure THE DOOR MAN.

Après 20 ans de Century 21, à scruter le moindre ratio, à former au cordeau pour emmener les équipes à des niveaux élevés de performance, je me demandais comment j’allais vivre le fait de recruter des personnes qui, pour pas mal d’entre elles (problème du mass market) et des systèmes en MLM), n’allaient sans doute pas pouvoir vivre de leur activité…

Dans les réseaux de mandataires en France, la moyenne de chiffre d’affaires annuelle d’un mandataire immobilier est de 22 000 € soit seulement 3 ventes par an ! Impossible de vivre avec si peu de ventes ! Alors, oui, les grands gagnants de ces réseaux sont les fondateurs et les 5% à 10 % des gens qui, quoi que vous fassiez pour eux, réussissent…Mais tous les autres, on en parle de tous les autres ? Tous ceux qui ont utilisés parfois leurs doits au chômage pour démarrer ce métier et qui, après épuisement de ces droits, se rendent compte qu’ils ne réussiront pas. On y pense à ceux-là ? On parle de ces communes où des dizaines de mandataires immobiliers indépendants d’une même enseigne se font concurrence les uns et les autres tellement ils sont nombreux sur une zone de chalandise trop petite…

Je ne pouvais définitivement pas aller dans cette direction, en rayant d’un seul trait tout ce que pourquoi je m’étais battu durant 20 ans chez Century 21. Et c’est là que le miracle s’accomplit. Car, dans le même temps, grâce aux trois piliers fondateurs du réseau, un maillage humain construit dans l’intérêt de nos agents mandataires, des mandats spécifiques, afin de coller au plus près des nouvelles attentes des consommateurs, et une digitalisation complète des parcours clients, collaborateurs et partenaires, je me suis rendu compte que nos résultats et le chiffre d’affaires moyen par agent mandataire en immobilier THE DOOR MAN était très élevé, beaucoup plus élevé que la moyenne, et ce n’était qu’un début !

Du coup, tout s’est éclairci pour moi, nous devions faire de THE DOOR MAN un « Réseau PREMIUM », avec peu d’agents mandataires en France mais tous très performants. Nous avons donc élargi le secteur exclusif de chaque agent à la même taille qu’en agence immobilière (environ 6000 h), sur lequel il est le seul à pouvoir réaliser des estimations et rentrer des mandats, nous avons mis en place le même éco système qu’en agence immobilière vitrée avec un manager (L’Agent MASTER) et des bureaux (Le Club) pour une formation et une animation en continue. Dans le même temps, un renforcement de nos outils avec la création d’un réseau social interne afin d’accélérer les échanges de bonnes pratiques, et la mise à disposition de nos Agents de plusieurs hotlines sur le plan juridique, déontologique, financier et commercial.

Enfin, avec nos systèmes internes de recommandation client, notre réseau d’Ambassadeurs, 1OO% digitalisés et le « Permis de crédit », en partenariat avec le réseau national IN&FI Crédits, nous avons mis à disposition de nos Agents de nouvelles sources de revenus complémentaires à leurs ventes.
Mon objectif est dorénavant clair et tout tracé, nous allons tout faire pour qu’un Agent Mandataire en Immobilier chez THE DOOR MAN réalise à minima 120 000 € de chiffre d’affaires par an et pour cela nous allons mettre tous nos efforts dans cet objectif ambitieux ! Je veux que nos Agents vivent pleinement de leur métier, puissent se faire plaisir et faire plaisir à ceux qu’ils aiment.

J’ai passé 20 ans de ma vie professionnelle à faire réussir des conseillers immobiliers et je veux passer les prochaines années à faire réussir des mandataires immobiliers.

Pour porter la bonne parole et le faire savoir au plus grand nombre, nous avons créé notre Cellule de recrutement des meilleurs talents confiée à Madame Gwenaelle AUTECHAUD, une professionnelle du recrutement.

La machine est lancée, maintenant j’y vois beaucoup plus clair, alors on y va, on fonce !!!
Nous ne courrons plus après « des effectifs » mais après « le nombre de ventes par agent ».

Pierre Arnaud MAZZANTI